R'lyeh a écrit :C'est une manière de voire les choses. Mes pensées tout comme ma conscience me sont données par mon cerveau. La biologie explique tout (en fin pas tout non plus, surtout concernant le siège de la conscience), je ne vais donc pas chercher dans des concepts empiriques : des concepts soutenu même si c'est faiblement par des preuves me paraissent meilleurs. Je discutais avec un normalien (bio) qui lui, bien pensait que l'ame était en fait le concept de notre ensemble : conscience+pensées(réactions electrochimiques)+émtions(~chimiques), et que ce concept était immatériel par essence. Ainsi notre ame est d'après lui (aux dernières nouvelles) l'information détaché de notre suport matériel. D'après moi l'information est intriquée au support, et si nous avons une âme, ce serait le "moi" c'est à dire, pensée+conscience+émotion etc.... Cet âme serait purement matérielle, donc en réalité nous n'auriont pas d'ame. Laissons la biologie et l'étude de la conscience guider notre reflexion.
Ceci dit il existe des domaines où les médecins, pour réunir le point de vue biologie plus conscience, dans leurs majorités, ne sont guère motivés à s'interroger sur l'inexplicable guérison, voir "miracle", et surtout sur les NDE, ces expériences du "retour des morts".Récemment tout un hors série de science et vie est consacré sur le miracle, très interressant.
Aujourd'hui, par sécurité sanitaire, de nombreux protocoles sont mis en place, qui ont tendance à faire oublier le patient face à sa pathologie.
Le patient n'est qu'une maladie, plus qu'une entité à part entière.
L'étonnant est qu'un "non soin", un placebo, a, en moyenne 30% de chance de guérir, quelque soit la maladie organique.
Ensuite, plus troublants sont les témoignages de gens morts cérébralement, qui reviennent à la vie puis peuvent décrire certaines actions qui se sont déroulées durant cette "petite mort", qui parfois étaient hors de leurs champs de perception physique (les 5 sens).
Personnellement, pour avoir testé un coma durant 24 heures, je puis dire, après m'être promené quelque peu, que je ne suis pas seulement un corps physique.
Ceci dit je ne suis pas à la place des autres carcasses, je ne connais, qu'un peu, la mienne
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