Empathie

Heureuse que cela te plaise.
Mais bou tu m'a percé à jour.
L'empathie m'a fait souvent aller dans pleins de compréhensions,
Mais cela m'a fait pas mal me perdre aussi.
Mes questionnements mon mis dans certaines situations,
Afin de mieux trouver des solution pour les vies.
C’est en se perdant,
qu’on se trouve,
C’est en aidant,
Que l’on prouve.
Parler vrai,
En le vivant.
Montrer,
En le prouvant.
Chaque destin est éprouvant,
Chaque chercheur est déœuvrant.
Car c’est avec sa santé,
Qu’il est allé chercher.
Le plus dur est de faire accepter,
Que c’est pour mon bien d’âme,
Que je me suis enterrée,
Et point de blâme.
Ma vie on me l’a donné
A mon droit de la mal mener.
A ma tristesse de la délaisser,
A mes pleurs de le constater.
C’est un jour,
Que je serais dans l’amour,
C’est un jour,
Qu’ils comprendront à leur tour.
Il n’y a pas de temps,
Pour éclore.
Il n’y a pas de chaînes,
Que j’ai encore.
Il y a juste les cicatrices,
Que je penses.
Que je panses,
Pour ne plus être factice.
Etre entière sans barrières,
Etre seule car unique.
Etre avec ma bannière,
Pour mon vrai unique.
C’est a ce prix,
Que je vainquis,
Que je compris,
Le sens de ma vie.
Que j’acceptais ma mission,
Sans plus de sous mission,
Juste un jour à l’unisson,
Exalter mon union.
Pour ne pas me perdre,
Il fallait que je sois certaine,
Ne plus m’enliser dans les merdes,
Il fallait que je sois sereine.
Pour ne pas oublier,
Il fallait que ce soit ancré.
Pour le digérer,
Il fallait que j’enlève mes souliers.
C’est en aillant plus rien dans les mains,
Que j’ai compris que j’avais tout au creux de mes reins.
Des miettes qui me reste de ce chemin.
J’ai une pause pour ne faire plus rien.
Pour l’instant je n’ai plus la force,
De repartir encore seule dans des habitudes,
Je suspends mon écorce,
Dans rien mis à par ma solitude.
Je continue à explorer ce qu’offre cette époque,
Que dans cette fourmilière avec équivoque,
Je prends le temps de me réouvrir,
A ce qui longtemps m’a fait jouir.
C’est avec tristesse que j’avais abandonné,
Ce qui par jeux m’avaient apporter,
Mais il fallait explorer sans se soucier,
Des convenances pour être respectée.
Voilà

Celineswin la sensibilitée.
Ce que tu m'as inspiré.
Et merci
***Ajout :***
Toujours je m’en suis voulu,
Puis j’en ais voulu,
J’ai toujours essayé,
J’ai beaucoup testé.
Je me suis éprouvée,
Je me suis trouvée,
Je me suis beaucoup délaissée,
Je me suis beaucoup pleurée.
Je n’ai pas voulu regarder,
Tout ce que l’on me reprochait,
Tout ce que j’oubliais,
Tout ce que je laissais.
Car un jour, je savais,
Que je le, les retrouverais,
Mais pour l’heure ne pas regarder,
Pour moins saigner.
Un jour je serrais régulière
Car j’aurais un chêne pour être un lierre,
Non pour être parasitaire,
Mais complémentaire.
Je n’ai rien su entretenir,
Mais mon mal être,
A su ne pas leur mentir,
Pour ne pas qu’ils regrettent.
Qu’ils me laissent dans me quête,
Les éléments ont mes requêtes,
Qu’ils gardent pour quand je serais prête,
Et constamment je guettes.

C'est en surpassant ma pudeur celineswin
C'est en me foutant des dires et pensées
Que j'ai réussi à m'exprimer
Car ma vie est de donner
A ce que dieux parait il, a délaissé
Heureusement que j'ai un caractère de con
Disent les cochons
Pour voir les désespoirs.
Pour sentir les devenirs.
Pour redonner espoir,
A mon grand déboire,
Mais je préfère cela,
A quelque chose qui ne me ressemblerais pas.
***Ajout :***

Il y avait longtemps que je n'avais pas écris sous forme de poème.
Comme personne ne clavette entre cela va faire une même personne longtemps. Mais quel plaisir cela fait.

Discutions avec moi !
Ah ! qu’est ce que je vais faire de moi.
Ma carcasse où as tu ta place ?
J’ai la chance de pouvoir attendre pour faire un choix.
Il me tarde que je me déplace.
Que me faut il maintenant ?
Par quoi commencer ?
Pour me replacer ?
Pour cet élans ?
Je peux attendre,
Sans me méprendre,
Père de cœur m’accueille,
Pour repartir vers mon ailleurs.
Serais je heureuse si j’avais…
Une maison dans un prés …
Un travail d’a peux prés…
Un amour juste pour être enlacé…
Non !!!! Je ne serais pas comblée,
Comme d’hab. Je me lacerais.
Comme d’hab. Je repartirais.
Comme d’hab. Je Réétudierais.
Reposer ses valises,
Reposer ses savoirs,
Juste pour avoir des devises,
Juste pour encore un savoir.
Comment dans ce temps,
Avoir du temps,
Avoir de l’argent,
Comment devenir savant.
Heureux d’être en cet instant,
Heureux d’être pour un avant,
Heureux de contribuer au futur,
Heureux de regarder les augures.
Et pourtant si lasse,
Que les choses passent,
Et pourtant si optimiste,
D’avoir tant de pistes.
Mais à être tout,
On se retrouve en tout,
Mais à être malléable,
On se retrouve pliable.
Nous avons tous une fonction,
Nous avons tous une connexion,
Nous avons tous traversé des tempêtes,
Nous avons tous avancé à être moins bête.
Quand on se retrouve enfin,
Emus d’avoir traversé tant de confins.
Embarrassé d’en être amoché,
Mais fier d’y être arrivée.
Stop ! un temps par pitié.
Je veux voir arrivée,
Sans plus me brusquer,
L’horizon que je veux me fixer.
J’ai de nouvelles données,
Mais vers où les orienter ?
Des empêchements se sont dissipés,
Je n’y suis pas habituée.
Toujours ce souhait,
Propre à l’humanité,
Toujours cette attente,
Qui est déprimante.
Comme cela me hante,
Comme cela me laisse du temps,
Comme cela me plante,
Comme cela est récurent.
Etre accompagner,
Pour tout déballer,
Ne plus être amputé,
De tout ce qui me fait.
Ne plus composer,
Dans des contrées,
Qu’il faudra quitter,
Car on sait.
Que l’on n’est pas à sa place,
Que l’on serra lasse,
Que l’on sera éjecter,
Que l’on n’est pas de cette race.
Leurs égos
Nous fait défaut,
Leurs ergots,
Ne sont pas beaux.
Alors je me lèves ?
Pour mettre en place qu’elle machine ?
Activer qu’elles doctrines ?
Je m’investis dans quelle officine ?
Patience ! dans ce non être,
Patience ! dans ce non devenir,
Patience ! dans ce mal être,
Patience ! dans ce souvenir.
Il me semble que des traits s’esquissent,
Il me semble que les nuages se désépaississent,
Il me semble que ce doit être ainsi,
Il me semble au delà de mon dépit.
Comme d’hab. J’aurais un sursaut de vie,
Comme d’hab. J’aurais envie,
Comme d’hab. Je me dirais : au moins j’ai appris,
Comme d’hab. Ca attendra dans l’oublie.
Je pioches dans mes apprentissages,
Je constates qu’ils ont acquis des présages.
Je constates Qu’ils seront toujours de mes âges.
Je constates qu’ils ne sont pas que de passage.
Ils savent que je les ais abandonné
Afin de mieux les exploiter,
Afin de mieux me trouver,
Afin de mieux les respecter.
Eux ne m’ont pas jugé,
Car ils savaient,
Qu’ils n’étaient pas oublié,
Car un jour ré exploité.
Aujourd’hui que j’ouvres mes mains,
Je constates moi qui avais peur d’un dédain,
C’est pas vrai que je n’est rien,
J’ai simplement à mettre cela dans un écrin.