Concours de nouvelles : les animaux parlent. Gagnant=nico4g

103e s'est émerveillée du côté artistique de l'Homme. Qu'en est-il du vôtre ? Faites partager vos oeuvres, écrites, visuelles ou auditives. <br /><font color="red">/!\Attention !/!\</font> Veillez à ne poster que vos propres créations. Lire le topic sur les droits d'auteur avant tout.

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Votre nouvelle préférée

Le sondage s’est terminé le ven. juin 22, 2007 8:56 am

nouvelle n°1
1
11%
nouvelle n°2
2
22%
nouvelle n°3
6
67%
 
Nombre total de votes : 9

diamant
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Concours de nouvelles : les animaux parlent. Gagnant=nico4g

Message par diamant »

Aujourd'hui démarre un nouveau concours de nouvelles !

Thème : Les animaux parlent

Conformément à ce qui a été décidé, le concours se fera de manière anonyme, ainsi je verrouille le topic pour pas que les nouvelles soient directement postées.
Pour participer vous m'envoyer donc vos nouvelles par mp, que je mettrais donc dans ce topic. Je précise que je n'en changerai pas une ligne, pas une virgule, rien (même pas les fautes d'orthographe :p). Si jamais vous voulez y apportez des modifications, eh bien vous me renvoyez un mp ^^

Je rappelle les règles du concours de nouvelles :

- vous avez jusqu'au 7 juin pour m'envoyer par mp vos nouvelles
- le vote durera 14 jours
- le langage sms est totalement proscrit
- la nouvelle ne doit pas excéder 4 pages sous word, police 12 en time new roman.
- le langage doit être correct
- chaque auteur ne doit présenter qu'une seule nouvelle

A la fin du concours, le pseudo du vainqueur sera révélé.
Si les autres auteurs souhaitent se faire connaître en fin de concours, il leur appartiendra de poster dans ce même topic pour révéler leur identité.


Bonne chance à tous ! ;)
Modifié en dernier par diamant le mer. juin 27, 2007 10:17 am, modifié 8 fois.
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diamant
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Message par diamant »

=> Nouvelle n°1
Lundi matin, éveil difficile. Lucien a son habitude repousse des quelques minutes l’inévitable échéance, poser ses pieds sur le carrelage glacial. Apres une dizaine de minutes de négociations avec son radioréveil il cède a contre c½ur. Un jeune vétérinaire en période d’essais ne peut malheureusement pas se permettre d’arriver en retard au travail.
Dans le bus, son regard fixe malgré lui les montagnes bordant la ville de Marseille, avec mélancolie il se remémore ses vacances dans les Alpes où la nature était reine. La toue d’un des passagers le ramène à la réalité, il est temps de descendre et de continuer à pied. 09H05 sa blouse passé il est une fois de plus juste dans les temps en faisant entrer ses premiers patients. Un gros chat accompagné d une grosse femme, affolée de ne plus voir manger son compagnon depuis déjà deux jours. Après seulement quelques secondes, la femme sort pour répondre à son mobile.
<< Hé bien mon gros, tu ne voudrais pas me dire pourquoi tu ne mange plus ?>>
Lucien regardant le chat avec compassion renchérît en un grand soupir :
<<Si seulement tu pouvais parler…>>
Le regard du chat change du tout au tout, son visage se déforme quand d’un coup jailli :
<<Pourquoi je ne pourrais pas parler ? J’ai juste envi de mincir pour passer à nouveau entre les barreaux de la fenêtre ; je ne n’ai aucun problème d’extinction de voix ! >>
Le veterinaire regarde attentivement le chat, incrédule, perturbé, cherchant en vain une explication pour finalement demander à tout hasard
<< Tu sais parler ? >>
Aucune réaction du coté du chat. Lucien se ravisa a l’idée de questionner de nouveau cet animal, retour de sa maitresse oblige. N’ayant aucune certitude quant au fait qu’il ait rêvé ou que ce chat parle, il ne veut en aucun cas devenir la risée de la clinique.
<< Madame, avez-vous des barreaux a vous fenêtres ?>>
<<en effet, comment le savez vous ? >>
<< Simple intuition>> menti le praticien, <<pourriez vous me laissez seul un instant avec votre animal ? >>
La propriétaire, le regard intrigué s’exécuta sans plus de questions.
<< a nouveau seul, si je demande a se que soit élargis les barreaux des fenêtres, consentirais tu a manger a nouveau ?>>
Le visage de l’animal se déforma de nouveau
<<Oui>>
Avec un sérieux qu’il lui est inhabituel, le jeune homme demanda au félin
<<peux tu m expliquer comme cela se fait que tu parle et pourquoi tu nem a pas répondu tout a l heure ?>>
<<Il est très douloureux pour les animaux de parler, on ne le fait que lorsque c est nécessaire a votre différence. >>
Le problème de régime fut réglé.
Lucien grâce à son secret est actuellement parmi les vétérinaires les plus reconnu dans le monde.




=> Nouvelle n°2
Le secret d’Edith

Sur son balcon, au rez-de-chaussée d’un bel immeuble semblable à un carreau de sucre géant, Edith rêvassait. Elle aimait passer de longues et paisibles heures au dehors, se gorgeant de soleil et savourant le doux parfum des rosiers nains alignés dans leurs petits pots en terre comme de braves soldats aux couleurs tendres. De plus en se penchant un peu par-dessus la balustrade en fer forgé, elle pouvait saluer ses amies en promenade et même bavarder avec elles sans quitter sa maison. Edith était presque heureuse.
Un beau matin de printemps, alors qu’elle envoyait mille et une malédictions aux pucerons qui décimaient ses roses, une ombre se dessina près d’elle.

- Edith ! Toujours en train de philosopher sur ce balcon !
- Robert !

Edith un immense sourire illuminant son petit visage, salua avec joie son vieil ami. Robert le voyageur était de retour. Vêtu de son éternel ensemble bleu-gris, il s’envolait chaque hiver vers une contrée sauvage mais toujours ensoleillée. Elle adorait ses récits de voyages racontés d’une voix grave et roucoulante. Elle qui n’avait jamais quitté la ville, rêvait de sillonner de lointains pays en sa compagnie.

- Racontes-moi tout ! Où es-tu allés cet hiver ? Ici, il faisait un froid de canard que j’ai cru y laisser des plumes !
- Je suis allé en Egypte ma chère amie. J’ai survolé les pyramides des pharaons et je me suis reposé à l’ombre des sphinx aux sourires mystérieux. Sur les berges du Nil, j’ai croisé des ibis, des poules d'eau, des hérons brefs des oiseaux de toutes sortes ! Un véritable régal pour les yeux. Et la nourriture, hum ! Epicée mais savoureuse. Quel dommage que tu ne sois pas venue avec moi !

Une lueur de tristesse envahit les jolis yeux noirs d’Edith. Non. Jamais elle ne partirait avec Robert. Elle ne pouvait pas laisser Tchitchil tout seul, tandis qu’elle allait se prélasser sous un ciel nouveau.

- Tu sais Robert, Tchitchil a besoin de moi. Je suis tout pour lui et sans moi, je ne donne pas cher de sa peau.
- Tu exagères Edith. Tu oublies que c’est un grand gaillard. Un vieux gaillard même.
- Oui mais il a besoin de moi. Le soir, il ne peut pas s’endormir sans entendre sa chanson favorite L’hymne à l’amour. Et si je pars, qui l’écoutera ? Il aime parler et même si certaines choses m’échappent, je dois être là près de lui.

Robert pencha la tête, l’air moqueur. Alors qu’il s’apprêtait à répondre à Edith qu’elle était stupide de jouer les mères poules, la fenêtre s’ouvrit brusquement et un torchon secoué avec rage faillit le frapper de plein fouet.

« Du balais sale bestiole ! Si c’est pour fienter, va du côté de l’église et laisse mes fleurs tranquilles ! Non mais ! »

Le vieil Achille rouge de colère secouait avec de grands moulinets le torchon de cuisine qui essayait de chasser Robert épouvanté.
- Tchitchil ! Thit-tchi-tchiiiii !

- Oui Edith, ce sale pigeon ne reviendra plus abîmer nos jolies roses.
- Tchi-tchi !
- Tu veux rentrer ? Bon, je vais prendre ta cage et la poser sur la table du salon.

Désespérée, Edith lâcha une roucoulade tristounette avant de picorer l’os de sèche accroché aux barreaux de sa petite cage. Achille glissa un doigt entre les baguettes en osiers et caressa tendrement la minuscule tête orangée de la perruche. Celle-ci lança des trilles qu’elle dédia aux pays inconnus qu’elle ne visitera jamais.

Je garde espoir. Si je parviens à comprendre Achille, peut-être un jour en fera-t-il de même ?





=> Nouvelle n°3
06 février 1975 14h01
Banlieue de Seattle Etats-Unis d’Amérique

Une magnifique Ford Mustang bleue nuit, modèle Mach1, venait de se garer près du Sli, bar à la mode situé à Alki Beach.
Un jeune homme au visage boutonneux, masqué par de grosses lunettes carrées, en sortit. Il tenait à la main une boite à chaussures. Le pas hésitant, il entra dans l’établissement d’où s’évadait une douce musique country. Le patron reconnu le nouvel arrivant.

- Hey, Bill , bien remis de ta soirée ?
- M’en parle pas Bob, j’ai l’impression que des boeing ont pris mon cerveau comme piste de décollage
- Ah ! ah ! ah ! et qu’est qui t’amène ?
- Euh, ben voilà, il m’est arrivé une drôle d’histoire hier soir
- Ah bon ? raconte moi ça. Je te paye une bière ?
- Ouaih, au point où j’en suis. Une Bud s’il te plait
Bill dépose sa boite sur le comptoir et prend une bonne gorgée de bière.
« Donc, hier soir je rentre comme d’hab’ par la vieille route pour aller chez moi. Evidemment, je m’arrête pour aller pisser, tu connais ma légendaire petite vessie. Bon, je sors mon attirail et au moment de flaire pleurer le serpent (au fait tu la connais celle du serpent qui se mord la queue ?), un cri me fais sursauter : « Attention ! ». Je me retourne : personne. « Baisses les yeux et range ta trompe, Dumbo »
Je regarde par terre et là je vois une grenouille. « Et oui c’est moi qui te cause, champion, je t’ai arrêté avant que tu pisses sur du 10 000 V, le "farmer" y plaisante pas niveau clôture. »
Bill arrêta son récit et regarda le barman droit dans les yeux.
- Alors qu’est ce t’en penses ?
- Qu’y a mieux comme dépucelage
- Mais non crétin, je te parle de la grenouille
- Ben t’étais rond comme un ballon et ton surconscient t’a sauvé.
- Mon subconscient mais c’est pas ça : regarde et écoute. Bill soulève le couvercle troué de la boîte à chaussure : une grenouille taureau de 20 cm de long, devant peser dans les 900 grammes et d’un joli vert olive fait alors son apparition.
- Vas y dis bonjour au Monsieur
- Coâ !
- Ah ! ah ! ah ! laisse tomber Bill
- Non mais je te jure. Elle m’a encore parlé après : elle m’a dit de l’appeler Kermit et de l’aider à retrouver un chien !.
- Du moment que c’est pas des éléphants roses. Bon c’était marrant mais j’ai d’autres trucs à faire. A plus Bill.
- Ouaih, c’est ça. A plus et merci pour la Bud.

Bill reparti en direction de sa voiture, la boite sous le bras. Il s’assit derrière son volant, massa ses yeux à l’aide de son pouce et de son index droits, puis, ouvrit la boite.
- Bon t’as empêché ma main droite d’être vraiment veuve mais qu’est ce tu veux ?
La grenouille sortit de sa "maison" rudimentaire d’un bond gracieux
- Je te l’ai déjà dit : je dois trouver un chien spécial.
- Un chien ? Mais quel chien ?
- Je ne sais pas mais, quand je le verrai, je saurai.
- Une grenouille à la recherche du grand amour canin, ils ont trafiqué les Bud, c’est pas possible !.

Bill décida quand même d’emmener le batracien visiter les chenils de Seattle. Au bout du 5ème essai infructueux, il commença à s’énerver devant la cage d’un chihuahua.
- Et celui là ? Il te plait pas, c’est la bonne taille pour toi.
- Chuttttt ! Tu vas nous faire remarquer.
Effectivement, le gardien du chenil s’approcha d’eux : « J’peux vous aider ? »
Bill lui répondit sur un ton badin.
- Oui si vous connaissez un chien qui aime les grenouilles
A sa grande surprise le gardien ôta sa casquette pour se gratter la tête : il semblait réfléchir.
- Attendez, je crois savoir ce qui pourrait vous convenir.
L’homme s’éloigna d’eux pour aller dans sa guérite. Il en ressortit bien vite, un journal à la main.
- Tenez lisez cet article, là. Le gardien pointait du doigt une photo où l’on pouvait voir un berger allemand lécher une grenouille. « Prince love more the frogs than his master » titrait la légende
Bill lu l’article. Il s’agissait d’un chien qui, depuis que son maître l’ait emmené en forêt, s’était épris de ces charmantes petites bêtes. L’article mentionnait le lieu de résidence du toutou transi : Bush Street dans le quartier français de San Francisco.
La grenouille qui avait regardé la photo depuis l’épaule de Bill, lui murmura à l’oreille, toute émue, « c’est lui ! »
Le problème c’est que Bill était un peu à sec niveau thunes. La grenouille trouva la solution en l’espèce d’un concours de jeunes talents au théâtre de Seattle : le premier prix était de 300 dollars. Ils allaient y présenter un numéro de ventriloquie.

10 février 1975 15h36
Théatre The Paramount Seattle Etats-Unis d’Amérique

Bill et sa grenouille étaient dans leur petite loge, attendant impatiemment leur tour. L’ouvreur vint les avertir que c’étaient à eux dans 5 minutes. Ils se rapprochèrent de la scène.
« Et maintenant, accueillons Bill et son amie Kermit »
Bill s’assit sur le tabouret situé au milieu de la scène. "Kermit" reposait sur sa main droite et le regardait comme un vieil ami.
- Comment ça va aujourd’hui, Kermit ?
- ça va, Bill
- Qu’est-ce qui t’arrives ? Pourquoi chuchotes-tu ?
- On sait jamais, je me méfie
- Tu te méfies de qui, de quoi ?
- Attends je te raconte l’histoire qui m’est arrivée il y a peu:
Je me promenais dans la nature, la bouche grande ouverte, à la découverte du monde,
accostant tous les animaux que je rencontrais.
- SALUT TOI ! T'ES QUI ?
- Heu, un âne
- OH DIS DONC MAIS C'EST SUPER ! ET TU FAIS QUOI ?
- ben... je broute de l'herbe.
- GÉNIAL ! TU CONNAIS D'AUTRES ANIMAUX DANS LE COIN ?
- Heu va un peu plus loin, je crois qu'il y a un chat
Bill intervint :
- Mais c’est passionnant ce que tu nous racontes
- Attends, laisse moi raconter la suite. Je t’écoute bien moi, quand t’es bourré.
Donc je continue mon petit chemin et tombe sur le chat
- SALUT TOI ? ÇA VA ?
- (qui se réveille) hmm fuck... quoi ?
- T'ES LE CHAT TOI ?
- Ouais, j’suis le chat et alors ?
- ET TU FAIS QUOI ?
- Je dors...
- OH MÉGATEUF, AMUSES-TOI BIEN ! AH AU FAIT TU CONNAIS D'AUTRES ANIMAUX
- Continue et tu trouveras la vache
Bill repris la parole :
- C’était un chat mal léché
- Oui, j’allais lui donner ma langue mais j’ai trouvé la vache puis, je rencontrais une girafe, un hippopotame, un cheval, etc... Enfin j’arrivais auprès du roi des animaux, le lion.
- SALUT TA MAJESTÉ
- ?
- T'ES BIEN LE LION TOI ?
- de fait
- ET TU FAIS QUOI ?
- Je bouffe les grenouilles à grande gueule et qui parlent fort.
- Ah mince, doit pas y en avoir beaucoup par ici. Euh, je dois y aller ma maman m’attend.

Les applaudissements et les rires fusèrent dans la salle.
Cinq numéros plus tard, le speaker déclara que le jury allait maintenant se retirer pour délibérer.
Quelques instants après, ce dernier revint pour annoncer les résultats : «Les grands gagnants de notre concours, cette année, sont : Bill et sa grenouille ! Applaudissons-les bien fort ! »
Bill vint chercher son prix, une enveloppe contenant les 300 dollars, et salua le public, dos courbé. Kermit, un grand sourire aux lèvres, serrait ses pattes avant au dessus de sa tête.
Il était temps d’aller faire bronzette sur la côte est.


14 février 1975 18h54
Bush Street San Francisco Etats-Unis d’Amérique

Après un trajet en train sans encombre (moyen de locomotion le plus adapté pour un voyage rapide et discret avec une grenouille), ils trouvèrent sans beaucoup de difficultés Bush Street, petite rue à l’angle de Belden Place et Claude Lane. Restait à trouver le toutou.
En arpentant l’allée, ils entendirent des coassements qui provenaient d’une propriété protégée par un muret de deux mètres de haut. Une voix masculine retentit soudain.
« Prince, viens mon chien, ta pâtée est prête »
L’homme avait parlé dans un français impeccable.
A cette annonce, la grenouille ne pu contenir sa joie :
- Bill on a trouvé ! Ce soir on leur rend visite incognito.
La nuit tombée, les deux amis pénétrèrent dans le jardin en escaladant le muret. Bill avait fixé une petite lampe sur sa tête à l’aide d’un gros élastique.
A la descente, Bill constata avec effroi que le chien était bien là. Il était même en face de lui, babines retroussées, l’air mauvais.
- Euh, Kermit, on fait quoi là.
- Attends je sors de ta poche
Quand Prince vit la grenouille, il jappa de joie et s’approcha d’elle.
Le chien lécha amoureusement la grenouille
Vouf ! Un voile de fumée blanche recouvrit les deux amoureux.
Quand la vapeur se dissipa, une princesse et son preux paladin avaient pris la place des deux animaux.
La jeune fille, vêtue d’une superbe robe rose diaphane, parla au bel éphèbe, en tenue de chevalier blanc, qui lui tenait tendrement les mains.
-Actarus, mon bien aimé, nous sommes enfin délivrée de la malédiction de la méchante sorcière Golgo.
- Oui ma chérie, nous pouvons maintenant retrouver notre monde pour restaurer l’Ordre.
-Avant, il me faut remercier mon ami, Bill.
« Cher Bill, Je te remercie du fond du c½ur, je dois maintenant te quitter mais saches que tu deviendras riche, juste récompense de l’aide inestimable que tu nous as apportée. »
L’ex-Kermit récita une formule dans une langue inconnue : des fenêtres lumineuses s’ouvrirent sur un monde magique à la végétation luxuriante.
La princesse et son fiancé mirent alors sur leurs yeux de curieuses lunettes de soleil. Puis, le chevalier sortit de son armure un étrange bâton métallique.
« Adieu Bill »
Un éclair rouge aveuglant jaillit du bâton. Quand Bill reprit ses esprits, il aperçut les fenêtres de lumière se refermer et disparaître. Le jeune homme ne se souvenait plus de rien.
« Just Windows » pensa t’il avant que les lumières de la propriété ne s’allument et le ramènent à la réalité. Il fallait partir car il se voyait mal expliqué sa présence dans ce jardin.

Voici l’origine de la fameuse phrase « Ma vie est un conte de fée » que prononce régulièrement Bill Gates.

Merci.



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diamant
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Enregistré le : lun. août 08, 2005 12:41 pm
Localisation : Marseille

Message par diamant »

Nous passons aujourd'hui au vote !
Donc trois nouvelles vous sont proposées à vous de choisir celle qui vous plait le plus !

Bonne chance à tout le monde !

Vous avez jusqu'au 21 juin pour exprimer votre voix !


***Ajout :***

Je déclare nico4g auteur de la nouvelle n°3 grand gagnant du concours de nouvelles !

Félicitations !!!!


:ola:


Si les autres auteurs veulent dévoiler leur identité je leur laisse le soin de le faire ;)
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Ando
Soldate farouche
Messages : 641
Enregistré le : sam. mars 18, 2006 11:24 am
Localisation : Derrière l'écran voyons !

Message par Ando »

Bravo ! C'est de la belle écriture :wink:
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nico4g
Ouvrière baroudeuse
Messages : 102
Enregistré le : mar. avr. 10, 2007 3:29 am

Merci

Message par nico4g »

:jongleup:
Merci à ceux qui ont voté pour moi et à ceux qui m'ont lu.
J'attends ma médaille (j'adôôôôôôôôre le chocolat).

Bravo aux deux autres, déjà pour leur participation.

J'invite ceux qui ont aimé ma nouvelle à lire mon histoire "Bernard Werber est il un extra terrestre ?" où je rends hommage à tout ce que j'ai aimé et à tout ce que j'aime encore (dont les oeuvres de Werber of course). Vous la trouverez dans cette section les fourmis artistes.

Votre avis m'intéresse :cool: .

A bientôt
l'homme est un loup pour l'homme
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