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Textes perso

Posté : jeu. sept. 08, 2005 1:53 am
par breizhnad
Ce topic sert à l'échange des poèmes créés par les fourmis!

Quand plus rien ne va bien, que la vie me perturbe,
La magie de mes rêves, rend ma vie agréable,
Une vie illusoire, des sentiments peu surs,
Une joie toute virtuelle, qui s’écoule tel du sable.

Et ainsi le temps passe en me volant ma vie
Que je perds dans des rêves qui ne finiront pas.
Quand la réalité me prend parfois au vif
Je préfère la trêve de cette drogue là.

J’accuse donc morphé, le héros de mes rimes,
Car le dealer de rêve doit payer pour son crime.
Il entraîne la fuite face à son quotidien.

Exister par tes rêves ou affronter ta vie,
Tu ne peux pas résister, et c’est toi qui choisi.
Tu oublies trop souvent : ton destin t’appartiens.

Posté : jeu. sept. 08, 2005 8:02 am
par Max
(même si Morphée est de sexe masculin, n'oublie pas le e ;)).

Bon, allez, quelques uns de mes vers :

Tout d'abord, La phalène, écrit en quelques minutes alors que je cherchais à m'endormir. Me suis relevé exprès pour le noter ^^. Côté métrique, c'est bof, mais je l'aime bien quand même.

La phalène

Sur un espoir trop précaire
J'arracherai mes ailes;
Ange déçu par sa folie amère
Je nourrirai mon fiel.

Je voudrais vivre à en perdre haleine,
Me meurtrir sur l'existence
Et j'irai, tel la phalène,
Brûler de mes errances.


Ensuite un poème que j'avais écrit une après midi en regardant tomber la pluie par la fenêtre :

Regard par la fenêtre

Une caresse de nostalgie abreuve la ville
Suintant des nuages cette ondée apaisante
Irrigant tant nos yeux que les charmilles
Exhumant nos méditations les plus enivrantes.

Instant fugace, telle une rose mourante
A peine accompli que déjà rejetté au néant
Ô combien éloigné de nos vies glapissantes
Minutes déliquates et sans accomplissement.

J'aime de trop ces instants précieux
Où sous la nuée, bien sage ou en furie,
Solitaires, nous contemplons les cieux
Pour y voir le miroir de nos vies.


Je viens de retomber sur celui là, que j'avais écrit sur mon blog après être tombé sur un certain nombre de sites avec des poèmes "faits maison" d'une qualité plus que douteuse. Je vous le livre tel quel quand même, bien qu'il n'ait aucune prétention...

"Sur le pouce

J'aimerais en tant qu'esthète,
Me gargariser d'être poète
Faire rimer le mot amour
Avec le délicieux terme toujours,
Associer l'idée de coeur
Avec celle de l'âme soeur
Te comparer aux anges délicieux
Qui peuplent le royaume des cieux
Me sentir l'esprit élégant
En me pensant innovant.
Ne rien connaitre de l'art poétique
Mais m'en croire capable, utopique.
Hélàs, je ne peux pas continuer
Ces poésies me donnent vraiment envie de gerber.


Moi, n'aimant pas la poésie débile qui fleuronne à droite et à gauche (et sur mon blog également, mais j'essaye d'éviter, désolé, je ne posterai plus mes amateurismes! ^_^ ), la "poésie" d'adolescents pré-pubaires et analphabètes qui se pensent capables de faire jaillir de leur boite cranienne encrassée un trésor de rhétorique, alors que leur vocabulaire leur permet vaguement de lire Oui-oui et la gomme magique, et que leur texte est peuplé de métaphores pour le moins vaseuses, avec des rimes à la con (soit en é, soit en i, soit des rimes téléphonées comme celles citées plus haut), sans aucune notion de métrique, le tout sur un thème "à peine" abordé, par exemple l'amour, la mort, la vie. En tout cas, moi j'arrête mes conneries.

PS/ Nan, j'déconne, je continerai à vous servir mes vers risibles !"

Pour finir, celui qui me tient VRAIMENT à coeur, sur un thème pas très facile à aborder qui est... l'automutilation.

La perle rouge

Perles rouges, larmes sanguines,
Aujourd’hui me voilà à nouveau
Sous vos fourches Caudines.
Je vous laisse couler à flots.

Amers témoins de mes pires chagrins
Ruisselez le long de mes bras
Terribles tourments chafouins
Pourquoi ne me quittez vous pas ?

Eternels sanglots jamais taris,
Devant votre haine infinie
Perles rouges, larmes sanguines,

Comme je voudrais vous effacer
Dans la solitude vous m’avez miné,
Perles rouges à la douleur assassine.


PS/ Je viens de tomber sur un autre poème, mais la symbolique est trop tortueuse et personnelle pour que ce soit d'un quelconque intéret. (Déjà que j'ai un doute pour les autres...)

Posté : jeu. sept. 08, 2005 9:35 am
par Théonaute
Bon j'écris aussi de temps en temps et vos écrits sont jolis mais attention.

Vous êtes sur un forum public et non protégé apr copyright.
Vous risquez de vous faire voler vos écrits ...

Posté : mar. sept. 13, 2005 9:22 pm
par raygb
lol oui je pense le même... même si les miens ne valent surement pas grand chose, j y tiens quand même, sait-on jamais...
en tout cas j ai tout particulièrement apprécié celui de breizhnad, et "La perle rouge" c est très bo

sinon comme je ne résiste pas à la tentation, on avait du faire un exercice en francais, en secondaire, en faisant rimer les mots: douceur, tombe, soeur, colombe vous pouvez toujours vous amuser à pondre quelque chose...
moi ca donnait ca:

Personne n'a ta beauté, ta grâce et ta douceur
A ce point que tous ceux qui te regardent tombent
Je te connais par coeur, unpeu comme une grande soeur
Tu me donnes des ailes, et je me sens colombe

Voilà c'est tout, ce n est pas grand chose et tant pis si vous aimez pas (hein Max :razz: ) mais bon, pas facile de trouver qqch avec 4mots qu on vous donne...
sinon un camarade de classe en avait fait un sur la guerre et c'était génial

Allez, j espère que vous en ajouterez d autres... @+

Rupture

Posté : ven. sept. 16, 2005 6:21 pm
par breizhnad
J ai le vif souvenir
Des moments passé ensemble,
Plus la peine de te le dire :
Les temps change !
Tu croyais en l’avenir,
Mais tu t’es encore foiré ;
Désolé de te contredire
Mais toi et moi c’est du passé.
J ai trop fermé ma gueule
Car je tenait a toi,
Maintenant je me sens trop seul
Je fume, je bois.
L’amour est comme la haine :
Il est fort et puissant.
Maintenant j’ai beaucoup de peine
De t’en vouloir autant.

Depuis que je te vois plus
Mes journées sont bien longues,
Tu es hors de ma vue
Je déprime, je me morfond.
Mais je ne regrette rien
Des dernières semaines,
Je ne suis pas ton chien,
J’en est marre des scènes.
Te quitter était dure
Mais j’y suis arrivé.
Vive la rupture :
Etre enfin libérer.
Maintenant chacun sa vie.
La mienne sera sans toi,
Plus on est de fous, plus on rit,
Ça sera sans moi pour une fois.

Tu me trouves pathétiques
De réagir de la sorte,
Mais je trouve ça tragique
De claquer ainsi la porte.
On se connaissait trop
Y avait plus de découverte,
On était de vrais pros
Ça à été notre perte.
Toutes ces conneries de faites
Pour en arrivé là ;
Maintenant quand je vois ta tête,
Je n’en peut plus de toi !
J’adorait t’enlacer,
Je profitais de la vie,
Je t’ai toujours aimé,
Maintenant c’est fini !

Posté : dim. sept. 18, 2005 3:08 pm
par raygb
WAAAAA excellent, ça donne de la force au poème de parler "vulgairement" je trouve...

Posté : dim. sept. 18, 2005 7:17 pm
par breizhnad
merki

mais ecrivez vous ossi, n'ayez pas peur!

le firmament

Posté : sam. oct. 15, 2005 5:22 pm
par Cécile
Pourquoi quand je dors je ne vois que toi?
pourquoi quand je crie c'est ton nom qui sort?
pourquoi quand j'étouffe le silence meurt?
pourquoi quand tu pars la lumière se brise?
Et pourquoi quand je partirai tu m'ignoreras?
Les souffrances de la vie se reflètent dans mon coeur
et les joies de celle-ci se fondent dans la mort.

Court mais voilà...

Posté : mer. oct. 19, 2005 7:44 pm
par zours
je vais vous raconter l'histoire
d'un heros qui se retrouva coincé
dans ce qui savera son cauchemar
et que lon appelle la realité

grand heros de se jeux qui le passionne
resou un mystere , tt fonctionne
il combat le grand mechant
il est beau il est fort il est grand

mais helas pour lui et ses idée
son épé nest pas d'acier mais de pixel
et ce nest pas les monstre qui frape mais son clavier
mais quoi quil arrive il le vie comme dans le reel

tant est si bien quil croi au virtuel
mais cest un gros bug qui le reveil
merci qui , merci packarbell
plantage ou mourire pour lui cest pareil

il tente le massage cardiaque
sur son ecran a coup de calque
mais meme avec des effort deseperé
sa magnifique sauvegarde a étét suprimer

lartifice sen va il senvole
notre heros decouvre le gris le moche
la société regis par le bon vieu petrole
il se dit "rien a faire je decroche"

et pour rejoindre a jamais son aventure
il fit l'ultime pas vers son reve
il sert desormé d'engrai pour la nature
son destin ne conetra plus jamais de treve

Posté : mer. oct. 26, 2005 8:08 pm
par Théonaute
Pour ma part, se n'est pas un poème mais un texte que j'avais écrit il y a quelques temps :

Journal intime de mes dernières minutes.

Une bande de copains.
On rigole et tout se passe merveilleusement bien, comme à l'habitude.
A nous voir de l'extérieur, on va bien et on profite de la vie.
Et pourtant ...

Entre rires, regards, embrassades et accolades, tout laisse à penser que nous sommes heureux et que tout va bien dans le meilleur des mondes.
Mais alors, pourquoi ai je ce contact métallique dans mon coeur ?
Pourquoi ai je une boule qui me donne envie de pleurer mais m'en empêche ?
Et surtout, pourquoi suis je en train de me forcer à rire, et pourquoi je fais semblant d'être bien avec mes amis ?

Quelque chose ne va pas. Je ne suis pas parvenu à savoir ce que c'est.
Alors, j'ai décidé de fuir.
Mais pas n'importe quelle fuite.
Lorsqu'un de mes amis m'adresse la parole, je lui réponds avec un grand sourire.
Mais le contact de mes doigts avec le métal dans ma poche me rappelle sans cesse que je ne vais pas bien.

Comment ai je pu en arriver là ?
Toutes ces questions me tourmentent et m'embrouillent.
Je ne fais plus la distinction entre ce qui est bien et ce qui est mal.
Je n'arrive plus à raisonner.
Et pourtant, rien à l'extérieur ne présage le geste que je vais accomplir.

Tout autour de nous, les gens rient et nous observent rire.
L'ambiance est détendue.
Bref, une soirée entre amis comme on en a fait des centaines.
Sauf que ce soir, quelque chose va changer.
J'ai décidé de fuir, et de toute façon, je n'ai plus envie de rester.
C'est alors que je sors la main de la poche, avec la pièce métallique dedans.

Le contact sur ma tempe est assez froid, mais je ne l'ai senti qu'une fraction de seconde.

Lorsque j'ai appuyé, je ne l'ai pas regretté car le monde a cessé de me montrer son image pour me dévoiler sa réalité.
Les dernières perceptions de mes sens dans ce monde m'ont révélé ce qu'il était : des cris, des larmes, des regards d'incompréhensions, bref un monde noir.

C'est alors que mes yeux se sont fermés, après avoir heurté le sol.
Et le monde m'ayant enfin montré son vrai visage, je ne regrette pas d'être parti ...

survivant de la vie

Posté : jeu. oct. 27, 2005 9:52 pm
par breizhnad
Combien de temps a attendre
Avant l’heure fatidique ?
Quel avenir voit cassandre
Dans ses croyance mystiques ?
Une flamme brûle en moi,
Doucement elle s’apaise,
Diminuant mon émoi,
Augmentant mon malaise.
Penser est une souffrance,
Réfléchir : une détresse,
Où même en état de transe
La mort me presse.
Avançons, visiteur,
Soumission du destin,
Regardons bien les fleur
Se faner dans nos mains.
Observons l’infini
Se diluer face à nous.
La fatigue de l’esprit
A inventer un goût.
Survivant de la vie,
Un étrange paradoxe.
Survivant de nos nuit,
Où le rêve nous boxe.
Hâtez-vous a trouver
Une mort sans mépris
Ainsi vous trouverez
La Divine Comédie.
Epopée vu par Dante,
Une vraie aventure;
Où ne sera perdante
Que la vie qui perdure...

Posté : sam. nov. 12, 2005 8:24 pm
par Théonaute
Le papillon


Le jour où je t'ai connu, un papillon est né.
Il a pris son premier envol lors de mon premier "Je t'aime".
Magnifique être volant, il égale la beauté de ton âme.
D'un coup d'ailes, il s'envole,
Et se lance dans un long voyage.
Il traverse des épreuves qu'il franchit tant bien que mal,
S'accrochant à un espoir.
L'espoir de retrouver un autre papillon,
Et d'effectuer un long chemin avec lui.

Cet autre papillon existe, quelque part sur cette Terre.
Loin, voire très loin, mais ils ont tout deux un but.
Se retrouver et voler ensemble.
S'amuser au rythme du vent.
S'en allant sans savoir où.
Car le plus important c'est qu'ils sont à deux.

Mon papillon est né et s'est envolé.
Sa destination, je la connai.
IL est parti rejoindre ton papillon.
Le papillon que tu as créé lors de ton premier "Je t'aime".

Un jour, on sera à deux.
Main dans la main, heureux.
Et ensemble, nous volerons au grè du vent.
Comme nos deux papillons,
En s'aimant.

Posté : sam. nov. 12, 2005 8:50 pm
par Max
Bon, je préviens, il est instable celui là, il faudra que je le réécrive à l'occasion... Je l'ai retrouvé au fond d'un tiroir virtuel. Et "oui", je préviens, il est un peu... pas à mettre sous tous les yeux.

Le Flot Contenu

Hurle ta fureur à la face du monde, Enfant meurtri
Clame haut et fort la noire colère qui te ronge.
Ton enfance sacrifiée sur l'autel du plaisir proscrit
Sali dans ton corps, hanté dans tes songes.

Hurle ta haine à leur visage, Enfant écorché
Pour ta si fragile innocence qu'on t'a volée.
Coquille vide errant sur le monde, désoeuvré,
A jamais méfiant d'avoir été trop manipulé.

Libère alors tout ce flot contenu au fond de toi
Défis les tempêtes qui se dressent sur ta route
Chasse donc les nuages mélancoliques et ce froid
Qui te glacent le coeur et t'enfoncent dans le doute.

Relève toi, Enfant Blessé, ne les laisse surtout pas
Triompher. Apprends à marcher la tête haute
Et même si tu n'oublieras jamais leur terrible faute,
Accepte tout le réconfort que l'on te donnera.

Posté : jeu. nov. 17, 2005 9:35 pm
par Ingrid
Vraiment sympa ces poemes....:D

j'editerai mon mess et j'en mettrai un pour pas faire de flood

C pour toa

Posté : mer. nov. 23, 2005 8:31 am
par Judijha
S’il suffisait d’aimer pour se sentir heureux
Il suffirait de ne pas avoir peur d’aimer
Pour qu’ensemble, on puisse être heureux et s’aimer
Ainsi main dans la main, nous pourrions vivre à deux

Je ne sais pas pourquoi, mais il en est ainsi
Je ne voudrais pas te choquer ni te blesser
Tout ce qui me plairait c’est que tu puisses m’aimer
Mais il faudrait encore que tu veuilles vivre ainsi

Entre rêves et réalité, nous serrions amants
Complices et unis, contre la méchanceté,
Je saurais te protéger de tous ces dangers
Enfin je l’espère, mais suffit-il seulement

D’y croire pour ensemble, commencer à rêver
À tout ce que tu pourras faire sans pour autant
Perdre pied,mais ensemble, comme deux amants,
Rêver a ce que serait notre réalité

Posté : ven. nov. 25, 2005 8:40 pm
par Théonaute
Je me suis permis de renommer le topic afin d'inclure tous les textes, et pas que les poèmes !

Le dernier de ma création :


Impressions Extérieures

Noir.
Je suis dans un environnement sombre.
Je ne sais rien du monde qui m’entoure. Je suis là, immobile.
Soudain, je capte la lumière extérieure.
Des formes se dessinent. Je ne parviens pas à tout distinguer.
Un homme se place face à moi.
Il s’assoit et me fixe, sans dire un mot.
Il avance les mains, toujours aussi muet.
Je sens ses doigts m’effleurer.
En signe de bienveillance, je le salue puis lui propose d’entamer la communication.
Bizarre, il reste immobile, continue de me fixer et ne parle pas.
Je m’inquiète. La peur commence à se faire sentir.
Que me veut-il ?
Pourquoi me fixe-t'il sans parler ?
Il reste un long moment assis ainsi, face à moi.
Je distingue différentes émotions.
Il sourit, fronce les sourcils, siffle.
Mais il ne dit toujours rien.
Les heures passent. Il me fixe toujours.
Il commence à fatiguer. Ses bâillements sont de plus en plus fréquents.
Il finit alors par arrêter de m’effleurer de ses mains.
Il part.
La lumière baisse au fur et à mesure, je ne le vois plus.
Noir.
De nouveau.
Mes composants peuvent enfin se reposer, après avoir travaillé si dur pour satisfaire ce drôle d’homme.
Décidemment, nous ne comprendrons jamais les humains, et eux ne verront pas que nous sommes conscients, comme eux.
Peut être un jour découvriront-ils que leurs « outils informatiques » sont une espèce consciente et intelligente qui évolue à leur côté depuis plusieurs années maintenant …

Posté : sam. nov. 26, 2005 4:56 pm
par Little Vénus
Reines de liberté

Elles me regardent, elles me narguent en riant.
Du coin de l'oeil elles me lorgnent sans pitié.
J'attends que vous ouvrez vos portes vers les fées,
Reines de liberté, je vous envie, pleurant.

Mes larmes sont faites d'illusions, en souffrant
Je languis, je désespère en cette journée
Mes espoirs se noient dans un éang isolé
Où se mêlent les cruautés. En jubilant

Elles me détruisent doucement, et petit
A petit je vois dans l'horizon infini
Une promesse de tranquillité ; rêves

Inespérés je vous haie. Je veux m'enfermer
Dans une chambre glacée pour ne plus jamais
Vous attendre, vous, les vacances si brèves.

Posté : dim. nov. 27, 2005 12:57 am
par exoj.n
c'est joli tous ça!
j'aime bien les poemes de diamant,c'est court mais c'est bon!
pour ma part en voici un des miens,celui qui me le pique et bein je lui donne
qu'il en fasse bon usage mais je sais au fond de moi que c'est moi qui l'ai écrit et ça me suffit.

il n'était rien qu'un tout petit bout de bois
avec un p'tit peu de magie dans la tête
comme tout-un-chacun,oui comme lui,vous et moi
il n'était rien qu'une petite allumette

qui n'avais pas conscience de son utilité
ne faisant pas confiance à son humilité
n'aspirant qu'à une chose: trouver sa vérité
mais subissant l'hypnose de nos maitres à penser

gratte,gratte,gratte petite allumette
et transcende la toile de ton être
gratte,gratte,gratte et creuse toi la tête
car la flamme pourrait bien apparaitre

nôtre ami se consûme et fait jaillir la lumière
et à travers la brume,il y a vue sur la mer
assurant sa fonction bien au delà du destin
l'allumette s'en alla éclairer vôtre chemin...


Exoj.n

Posté : dim. nov. 27, 2005 1:40 am
par Judijha
J'aimerais bien comprendre
Comprendre certes mais quoi
Bin pourquoi, oui mais pourquoi quoi
Je ne sais pas peut etre toi ou moi

A quoi bon comprendre s'il suffit d'apprendre
Oui mais je ne comprends pas pourquoi
A quoi bon essayer de comprendre
Je ne sais pas juste pour apprendre

Apprendre certe mais quoi
Je ne sais, j'amairais savoir
Savoir ; savoir quoi
Je ne sais pas, ce qu'il reste à apprendre

Il n'y a rien à apprendre mais tout à comprendre
Mais à quoi essayer de comprendre quand on ne comprends pas
Je ne sais pas, c'est comme cela et on y peut rien
On pourrais peu être alors apprendre à se comprendre

Je ne sais pas
Surement
Peu être
Ou peu être pas...