Yanidimani

103e s'est émerveillée du côté artistique de l'Homme. Qu'en est-il du vôtre ? Faites partager vos oeuvres, écrites, visuelles ou auditives. <br /><font color="red">/!\Attention !/!\</font> Veillez à ne poster que vos propres créations. Lire le topic sur les droits d'auteur avant tout.

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yanidimani
Nymphe des bois
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Message par yanidimani »

J'ai ces petites choses qui traînent sur un vieux disques quasi rayé.
Du 100% MOI!!!
C'est mon époque 18-25ans faite de "délires", ce fameux mot qui substitue la liste de ce que j'ai pu assimiler et évite de citer trop de choses...
Epoque où comme pas mal de jeunes, j'avais la haine contre la vie et contre moi-même.
Epoque où les portes de ma perception étaient grandes ouvertes. et où je prenais le "cœur" pour une faiblesse, pour une simple pompe à liquide rouge.
Donc après avoir lu la galerie de DIANE, je me suis dit, pourquoi pas une galerie de Yann?
Donc voilà...:

***Ajout :***

Elles est unique,
Avec ses airs antarctique
Ce qu’on s’aime,
Ceux que l’on aime,
Jardins utopiques,
Visages de tropiques,
Ce que tu sèmes est sage,
Comme certains livres, aux plus belles pages,
Mais de tout cela, tu n’es rien,
Car tu es incommensurable,
Toi qui te dis friable,
Tu es l’infini de ce qui se nomme bien,
Et moi, à tes cotés, je ne suis rien.



Il est des nuits sans étoiles,
Où le noir m'envahit et m'abandonne,
Désespéré, ma vie s'étoile,
Pour ce manque d'image, que me pardonne?
Et pourtant, jamais je ne mens,
Cette vision invivable m'envole comme des fables,
Je suis divisé et divise chaque fait,
Tout n'est qu'image et aveugle du mal,
Plongé dans ces films sans fin, je défais…
Fragile des méfaits, J'ignore le mal, le soustrais,
La vue qu'a mon âme fait de moi anormal,
Et pourtant, je fuis l'antre du mal qu'on m'oblige,
On me pousse, et pour chacun, qu'y puis-je?
Et pourtant…



Par un frisson léger et presque imperceptible,
Le corps ressent soudain comme un mal ignoré,
Qui le ronge, le rend vulnérable et sensible,
Aux charmes d'une voix ou d'un nom évoqué, murmures…
Puis viennent les envies, les chaleurs, les vertiges,
Les raisons d'espérer et celles d'avoir mal,
Les besoins de tendresses enfin qui nous obligent,
A trouver merveilleux ce qui n'est que banal.
Le cœur n'est qu'un organe étranger à ces choses,
Qui ne bat ni plus fort, ni plus vite, et pourtant,
On lui offre une action, on lui donne une prose,
Et "dieu" seul sait pourquoi on le jette en avant, tremblant,
L'amour vient-il des yeux, de la peau, du ventre?
Pour le localiser, il est difficile en soi.
C'est comme un tourbillon dont on se veut le centre,
Et on parle de lui pour mieux parler de soi.
Et bien que tous nos gestes, au fond, restent les mêmes,
On les veut singulier, on les croit différents,
On se sent libre, enfin, de n'avoir qu'un problème,
Que d'aucuns ne qualifie de simple mal de dent d'un moment,
Entre nous, l'être aimé n'a que ce qu'on lui prète,
La grâce qu'on lui loue, la beauté qu'on lui créer,
Ses formes modelées par nos pensées secrètes,
Deviennent œuvre d'art qu'un subconscient a fait…
Aimer plus que soit même, aimer sans réfléchir,
Aimer plus qu'on nous aime, pour mieux se plaindre et mieux souffrir.



Train de vie sans rail,
Passage à niveau sur la paille,
Couple plongeant dans les railles,
Ici bas, il n'y a plus rien qui aille.



Un vers pour la solitude,
Un verre pour l'amertume,
Couple sans certitude,
Ouvert à platitude,
Refus des attitudes,
Rafus dans l'inexactitude,
Revers de l'habitude,
Peur de l'amplitude,
Aucune similitude,
Si ce n'est un toit et son interlude.

***Ajout :***

J'en rajoute, le temps de me relire... Tout ces trucs bizarres que j'écrivais... Je fais du tris. Et d'avance désolé pour l'impolitesse.


Télécommande de la télévision,
Offrant des images sans fond,
Agissant par coups sur la vision…
Télécommande de la chaine,
Offrant les sons de la haine,
Agissant sur les coupes déjà pleines…
Télécommande du magnéto,
Offrant la copie aux sados et aux masos,
Agissant sur la porosité des couples faux…
Télécommande de la playstation,
Offrant le silence de la désunion,
Agissant sur le moral sans modération…
Télécommande pleine de boutons,
Offrant sans cesse la même illusion,
Agissant comme le berger sur son mouton…
Télé Commande.


Argent qui pourrit autrui,
Ces gens que côtoie ma vie,
Argent de la folie,
Qui rend compte de ses fruits,
Argent du mépris,
Discriminant grands et petits,
Argent des "amis",
C'est lui qui intéresse, pas ta vie,
Argent du pays,
Celui volé sans préavis,
Argent pourrit,
Des tueurs, braqueurs et malautruis,
Argent de la connerie,
Des bombes, des guerres et des fusils,
Argent de l'oubli,
Ou, combien sommes-nous dans la survie?


Ici gît ma rage…
Ce tapage de l'homme sur la nature,
Cette mort sans age que l'on inflige comme des ordures,
Le tort de la religion dans ces pays de tortures,
Le carnage de la civilisation immature,
Je pleure de voir des frères courir dans la rature,
Châtiant les âmes comme des enflures,
Image vivante de ces oiseaux mazoutés de leur plumage,
Souillons les berges et les plages!!!



Notre terre sans age,
Se ramasse face à la civilisation,
On ère dans la rage,
De la masse en évolution.


Œuvrer pour son envie, œuvrer pour sa vie,
Il s'empare d'elle, prétexte une simple envie,
Viol son esprit avec mots, mythos, prix…
Son seul plaisir qui s'ensuit, purger son radis.

Beauté pour autrui, aimée de ses fruits,
Elle s'émeut de ses faux avis, ses textes volatiles, puis,
S'envole, mais se méfie, il est beau dans ses habits,
Tout l'amène à réagir, son corps frémi, est-ce l'habile?

Charmé de son futile, épuisant dans l'inutile,
Il la suit, s'ensuit l'immorale inassouvie,
C'est un roi nympho, sourires et gestes, il sévit,
Il plonge sur le décolleté qui fait frémir son fusil,

Ancre jetée, le viol défile…
Le cœur a la raison, que la raison ne connaît pas.



Rive gauche, tout est moite,
La débauche est à droite,
L'incessante dérive pousse au pire,
Une eau habile sale et satire,

Luxe de glace incolore amplifiée,
Par l'aise insolente de la monnaie,
Sur les surdoués d'une flotte arrogante,
Se dérobant des ses fluides insolents,

Une secousse mène sous le niveau,
Appui frontal contre le dévot,
Effort brutal d'un lobe ajusté,
Pluie profonde brulante désabusée.


Elles,

Sous cette toison brune sommeil une lune,
Ma plume glisse dans son amertume,
Un seul de ses regards et mon cœur se fige,
Ce sourire a conséquences, de vers m'oblige,
Je glisse, tombe dans des râles, des soupires,
Je plonge, m'enfonce dans ses rires,
Son doux visage habile fend l'habituel page,
La rompt en milliers de plaisirs sages.


Elles est un astre incandescent,
Et me brule d'amour indécent,
Sa beauté se fait luminescence,
Et éclaire mes heures d'impatience,

Son cœur est une morale exquise,
Et si elle en a une idée précise,
Je me soumets à ses conditions,
Et sombre dans les abimes de la passion,

Je me ferai poisson dans tes eaux tropicales,
Elle sera la fission de ce qui nous est amical,
La bombe atomique dans une fosse abyssale,
Faisant fuir le banal de l'instinct animal.

Elles est fluide comme l'eau, sept éléments,
Ses formes déforment ma raison de dément,
Si seulement je pouvais être autre chose que son amant,
Je la porterai comme l'eau dans le vent,

Autant en emporte l'évent…



Simple son de déraison,
L'unisson d'une voix en démission,
Active une attention précise,
Celle de la jalousie exquise.

Valeurs modifiées des "on dit",
Toujours amplifié de maudit,
Flatulente pensée hypocrite,
Elevée au rang démocratique,

La parole fausse la compréhension,
Guide nos choix dans l'inanition,
Subir le propre de la folie passagère,
Et le propre de l'envie messagère.

Notre justice inconsciente est polluée,
Pleine de mages et d'enfoirés,
A la couleur d'images virtuelles,
Nous sombrons dans le démentiel.

Et si l'empathie "contrôlée"
Nous était incontrôlable,
Et que nos certitudes amplifiées,
Etaient chromosomes modulables?




Whisky, comme sourire forcé à la vie,
Mon espoir se fonde dans ces délices de l'envie,
Eclate, écarlate comme mon sang dans mes organes,
De boire, déboire, je décolle et plane,
Ce deltaplane qu'est l'alcool, me vole, me viole,
Je me laisse faire, telle une pute qui racole,
Je gagne l'argent de la vie… En vrai, la démolie,
Je suis un homme, et je ne peux donc que détruire,
Comme tout ce que l'homme entreprend pour la baise ?
Il fait devenir cendres, tout ce qu'il a rendu braise,
Il est devenu flambeur par son humeur,
Mais tout ce cinéma ne vient que de sa peur,
J'éprouve une telle rancœur envers lui,
Que je m'isole, m'enferme, bois et fuis,
Je suis et fuis dans un puits sans fond,
Je coule et roucoule avec ma chérie, Mélancolie,
Je vais et m'enfonce dans ces immondes solitudes profondes,
C'est ici que mes textes se fondent, je le redis…Mélancolie…

***Ajout :***

J'ai un peu de temps alors j'en remet une petite couche.
Drôle de sensation que de relire ces choses sorties de mon esprit...




Un monde unique peuplé de moutons,
Des bombes y piquent l'écorce de notre tombe,
Boutique où l'on vend la copie uniforme des peuples,
Désespoir de l'identique où chaque copie se veut you nique,
Mais dans le fond vrai, matériel ne sera que clonique,
Dans ce monde qui se veut commercial et hypocrite,
On nourrit notre langage de répétitif synthétique,
On nous veut matérialiste et non réaliste,
Le sens est proscrit, l'illusion approfondie,
Si profonde qu'elle conquit l'esprit dans le mépris,
De la moindre forme de vie…



On nous assène de religions bidons,
Mais, religions, si en deux nous les plions,
En rien nous ne les rétrécirons,
Car au fond, elles ne sont qu'illusion..

Bien bas est le plafond de ceux,
Qui pensent miracles et pieux,
Si profond est le désespoir en eux,
Que rien en vaut la Sensure pour eux !

Magistrats et religieux se complètent,
Comme un et un fond deux,
Tout n'est que voile mystérieux,
Pour effacer les âmes qui pensent à leurs têtes.



Si la nature ne nous a pas par la maladie,
Elle nous aura par les intempéries,
Si elle échoue en cette partie,
Elle entamera les semis de Richter,
Et si jamais cela ne nous suffit,
Elle recommencera à nous confronter face à notre empathie,
Et nous recréerons l'identique de l'enfer…
La troisième guerre…



On fait du mal à notre terre,
Elle qui nous a vu grandir,
Elle qui nous a vu nous haïr,
Elle qui nous vois la détruire,
Et par la même occasion nous réduire,
A une dégénérescence de ce qu'elle aura su produire.



Celui ci était pour la compagne d'un pote en prison...
Les fautes d'orthographe sont volontaires!!! :wink:

Prisé par l'état comme punition aux malfrats,
Ils ont pris la liberté d'aimer aux filles comme toi,
Pourtant là-haut, combien de hors la lois?
Combien de fous, comme ce cheik des émirats?

Zonzon, comme ces morceaux de gazons,
L'homme n'est-il pas gazon entouré de béton?
Ne serait-ce pas là la pire des punitions?
Ou pour la vie, une trahison?

D'animal à humain, nous somme devenu spirituel,
Un animal en cage n'est-il pas cruel?
Un humain en cage, n'est-ce pas de l'ordre du virtuel?
Quand aux êtres spiritueux, le pouvoir devient mortel.

Un sage enfermé devient rage incarnée,
Car quand la sagesse prend les coups qui blessent,
Elle se transforme en ogresse en détresse,
Page ou l'avis envient à se désincarner,

Désincarner, ou dés incarcérer,
Tel un mort vivant des tôles froissées,
Ce laminage partiel de l'age resserré,
Donne le sentiment d'une partie de vie délaissée,

Délaissée, délassée, tu perds un souffle incommensurable
Chaque seconde sans, devient un temps non potable,
Corps insupportable, sans l'œil d'un cœur viable,
Vision notable d'une ombre indécollable,

Sable de vide transperçant le sablier du temps,
Vision de sa vie dans un endroit dément,
Où l'ombre des vies cache le présent,
Pour un avenir des moins plaisant…

Son nom est une écriture pâle dans un fond sans hâle,
Et toi, tu te caches, sans face derrière un voile,
Celui d'une reine voilée par une beauté sous toile,
Toile parfaite pour une prisonnière royale.

En même temps une chose a été emprisonné,
Loin des yeux, mais dans ton cœur,
Chacun de tes frissons deviennent rancœur,
Tout devient bon bon pour soulager un cœur empoisonné.

Empoisonné, emprisonné, d'un amour figé,
A un temps qui court sans jamais avancer,
Où l'écart laisse trouble tes pensées,
Inonde ta vie de peur et de sentiments piégés.

Pour Sabrina.


Celui-ci c'est Le monologue du Schizo

Comment veux tu que je puisse résister à tes assauts,
A ces mots déposés dans mon cœur, sur ma peau,
A ces caresses exquises que tu me laisses deviner,
A ces assauts que ton corps va donner,
A ces baisers sur mon corps inondé,
A cet amour que tu m'as fait connaitre,
A ta tendresse et ta légèreté,
A ces moments de bonheur inouï,
A ton odeur,ta chaleur,
Comment veux tu que je puisses résister?…

…Ne résistes pas, ne résistes plus,
A ces mots pleins de sous entendus,
A ces caresses voluptueuses sur ta peau nue,
A ces assauts de corps assemblés,
A ces baisers emplis du mot aimer,
A cet amour que tu sais,
A la tendresse d'être(s) unifié(s)
A ce bonheur inassouvi,
A ces odeurs et cette chaleur inouïe...



Terre à terre et sens austère,
Illusion puis convulsion,
Je tombe à terre devant ses airs,
Mon cœur s'arrête, plus de pulsions.

Ce n'est pas qu'une impression,
Puisque rien n'imprime. Sauf la prime...
Ceux qui puisent monnaie et frime,
Se la rentre comme mon âme aux abîmes.

Chute profonde et ininterrompue,
Le matériel est illusoire et pue,
A croire que copier/coller est une vertu,
Strass de sang, de verres, ça me tue

Paillettes, comme l'aiguille miracle,
Qui trouve son cœur dans la meule de foin.
Ici bas, l'amour n'est rien, débâcle,
Mon cœur est immense mais ne trouve rien...




Les nuits, les jours, dans mes comas éveillés,
Une lumière resplendit au sein de ma conscience,
Une sensation d'extase empli mes feuillets,
Un amour profond fleuri comme une science,
Enveloppant douleur et souffrance,
Dans un drapé de beauté à outrance,
Les autres deviennent abstinence...
Et pour elles je me terre dans mon silence.
Elles m'élève, me plonge dans les rêves...
Elles m'extasie de sa présence si sereine,
Un royaume où le bonheur, c'est elles, ma reine,
Dans mes désirs, mes songes, elles m'enlève,
Dans ce désert emplit de beautés inégalées,
Je vaque dans ses bras cherchant sa lumière,
Ce jour, où son image ne sera plus brève,
Cet instant, où nous pourrons nous envoler,
Sans craindre les chasses et leur distance,
Le manque de regard en nos absences...
Le rapprochement physique devient besoin,
Devant ces messages qui ne sont que Bien.
Souvent, mes yeux se ferment sur un nuage,
Leur eau laisse ruisseler sur mon visage...
Des larmes de patience rident ton absence,
Je matérialise ton image et retrouve mes sens,
Mais ce ne sont que des instants,
Ma sensation s'efface dans un plongeon,
Chute dans la passion et l'envie d'une union,
Charnelle ou cruelle, où est le temps?
Celui de l'amour où tout se permet,
Où chaque mots peu devenir rejet,
Ou la fusion peut être si parfaite,
Dans une relation sublimement honnête,
Cet amour sera planète et jouira de son évolution,
Ainsi sera, la même que notre terre de déraison,
Mais il faudra s'arrêter avant l'effusion,
Comme celle qui croit maintenant, désillusion...

Je ne sais où est encore allée ma tête... Bien que je le sache,
Je ne fais que vous offrir mon cœur par petit flash,
J'espère que ce ne sera pas une autre erreur de lâche,
Comme celle que j'ai déjà faite à grand coup de hash...
Non ce ne sera pas pareil,
J'éviterai d'écraser vos orteils,
Si ce que je dis est mauvais, vous offrirai mes plumes, pour élargir vos ailes...




Naissance dans une totale innocence,
Renaissance banale d'une luminescence,
Inspiration profonde d'une quintessence,
Poussant à fond la carte de la jouissance,
Ainsi qu'un instinct old délinquance,
Poussant ses limites parfois à la démence.
Qui parfois peut rire ou ne pas du tout être cool,
Ou témoin du pire et porter une cagoule.



Comme d'hab je m'lève, SEUL!!!
Depuis hier matin en fait c'est pas dur, j'me sens SEUL!!!
Comme si c'était depuis toujours, tout les jours SEUL!!!
Même parmis mes amis, ma famille, constamment je suis SEUL!!!
Ordre ou désordre, même accompagné, je me sentais SEUL!!!
A croire que c'est établi, depuis que je vis à paris, je vis SEUL…
Marchant ou pas, je marche au pas, ahah, parmi vous, SEUL!!!
A vos regard je fuis, j'éteins mes yeux pourtant si SEUL!!!
Toutes vos beautés bohèmes me fixent jusqu'à ce que je me sente SEUL!!!
Et ca vient vite! La force de vos regard me fige à me rendre SEUL…
Je ne suis pas le seul parmi tant d'autres, puisque beaucoup sont SEULS,
Nous sommes de plus en plus, faut croire qu'on nous y pousse à le devenir, SEUL,
Dans l'avenir je n'aurai que deux vœux à accomplir, un sérum contre le SEUL,
Et l'universaliser contre ce problème dont beaucoup ne souffrirent pas SEUL…
Marchand ou pas, marchande parfois, il est a prendre parce qu'il se sent SEUL,
Souvent j'ai mal à croire qu'il couterait cher alors je le baisse, dans son linceul,
Il bat tout le temps mais s'arrête souvent, sous la force d'un regard souvent seul…
Mon cœur n'est même pas à vendre, juste à prendre, pour ne plus dire que je suis…




merde comme l'herbe que je fume, ou celle dite posthume,
celle de mes passages d'amertume
où je ne me sens bien que dans la brume
ou en compagnie d'une belle brune
miracle somatique de neurones épileptique
bridage des neurones antistatique
le sang monte en pression dans mon corps,
je fume pour ne pas devenir mort
car pour un rien je me laisserai aller dans cette simplicité
celle de laisser tout aller et de ne plus penser
dépenser, climatiser mon esprit à cet merde qui m'entoure,
là où les fruits jeunes pourrissent par manque d'amour
L'intelligence est à la vérité ce que le polygone, dont ses angles sont multipliés à l'infini, est au cercle

Un bon schizophrène est un schizo qui sait qu'il est schizo. A ce moment là ce n'est n'est plus une maladie, mais un avantage...

Même la personne la plus intelligente voit cette dernière dépérir quand l'amour s'insinue en cognition
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